I – Représentation visuelle



Plan d’étude du sujet

1 – De l’œil au cerveau

A – Des photorécepteurs au cortex visuel

La vision du monde dépend des propriétés des photorécepteurs de la rétine.

L’étude comparée des pigments rétiniens permet de placer l’Homme parmi les Primates.

Le message nerveux visuel emprunte des voies nerveuses jusqu’au cortex visuel.

Déterminer les rôles des photorécepteurs et de l’organisation anatomique des voies visuelles dans la perception d’une image.

Relier :

  • certaines maladies et certaines anomalies génétiques à des déficiences visuelles ;
  • certaines caractéristiques de la vision à certaines propriétés et à la répartition des photorécepteurs de la rétine.

Justifier la place de l’Homme au sein des Primates à partir de la comparaison des opsines ou des gènes les codant.

B – Aires visuelles et perception visuelle

L’imagerie fonctionnelle du cerveau permet d’identifier et d’observer des aires spécialisées dans la reconnaissance des couleurs, ou des formes, ou du mouvement.

Expliquer à partir de résultats d’exploration fonctionnelle du cerveau ou d’étude de cas cliniques, la notion de spécialisation fonctionnelle des aires visuelles.

C – Aires cérébrales et plasticité

La reconnaissance d’un mot écrit nécessite une collaboration entre aires visuelles, mémoire et des structures liées au langage.

Établir les relations entre coopération des aires cérébrales, plasticité des connexions et activité de lecture.

 

2 – La chimie de la perception

A – La transmission synaptique

La perception repose sur la transmission de messages nerveux, de nature électrique, entre neurones, au niveau de synapses, par l’intermédiaire de substances chimiques : les neurotransmetteurs.

Mettre en évidence la nature chimique de la transmission du message nerveux entre deux neurones par la mise en relation de documents, dont des électronographies.

B – Les perturbations chimiques de la perception

Certaines substances hallucinogènes perturbent la perception visuelle. Leur action est due à la similitude de leur structure moléculaire avec celle de certains neurotransmetteurs du cerveau auxquels elles se substituent.

Leur consommation entraîne des troubles du fonctionnement général de l’organisme, une forte accoutumance ainsi que des « flash-back » imprévisibles.

Expliquer le mode d’action de substances hallucinogènes (ex. : LSD ou « acide ») par la similitude de leur structure moléculaire avec celle de certains neurotransmetteurs du cerveau auxquels elles se substituent.

Expliquer l’action d’une drogue dans la perturbation de la communication nerveuse qu’elle induit et les dangers de sa consommation tant d’un point de vue individuel que sociétal


 

Documents complémentaires